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29 avr. 2011

Vendredi

C'est un beau vendredi aujourd'hui, sous le signe de la bonne humeur.
Beaucoup de plaisir et de rire au travail.
On aime ça.


J'ai maintenant officiellement un harceleur.
(Pas le tueur en série habillé en brun, heureusement)
C'est drôle :)


Pis il annonce un week-end MA-LA-DE.
On aime ça bis.


C'est tout.

26 avr. 2011

Ousse'kon va?

Dans deux semaines environ, je fais mon entrée dans la trentaine.

Fini la jeunesse.
Je devrai me couvrir le visage de crème anti-ride, commencer à éloigner mon livre de mes yeux pour être en mesure de lire et commencer à économiser pour me payer un dentier.


Pour oublier mon malheur, j'ai bien l'intention de me saouler jusqu'à pu me souvenir de rien. Ok non. C'est dure se remettre d'un lendemain de veille rendu à mon âge... :S fêter ça en bonne et due forme.


Alors, avez-vous un endroit à me suggérer?

Où on va?

25 avr. 2011

Tueur en série

Tsé, des fois, tu regardes quelqu'un et tu te dis : Lui/Elle, on dirait un tueur en série. C'est toujours un peu drôle quand on voit quelqu'un et qu'on se dit ça dans sa tête.


Le gars habillé en brun qui vient de livrer un paquet au bureau, ben, lui là, il fait me fait peur.


Pour vrai là.


De la façon qu'il regarde le monde, on dirait qu'il cherche sa prochaine victime...


Je ne serais pas étonnée de le voir, assis dans sa voiture, à me guêter ma sortie, pour me suivre jusque chez nous. Pis ensuite suivre mes allées et venus pour choisir le bon moment, idéalement quand je serai seule, qu'il fera noir et qu'il ventera beaucoup dehors, pour s'introduire chez moi.

*goose bumps*


Ouais, il a définitivement le look de l'emploi lui.

21 avr. 2011

Miam...

Je suis tellement en train de déguster un bon petit lapin en chocolat Lindt.


Le rouge.


Mi-am.


Parfait pour un jeudi après-midi, déguisé en vendredi après-midi.
On aime ça quand ça arrive.



Joyeuse Pâques à toi qui lit ceci présentement! :)

19 avr. 2011

Remède parfait

Meilleur remède EVER contre la mauvaise humeur : Aller lire les derniers posts sur Damn You Auto Correct


J'ai maintenant le sourire accroché aux lèvres, et le fou rire très facile :D


*Soupir satisfait*

Théorie "Feu de camp"

Ah, l’amour.

Si beau, si compliqué, si... inexplicable.

J’ai souvent des réflexions sur le sujet. Je me demande souvent comment ça se fait que les couples, de nos jours, ne durent pas. Ou si peu.

Qu’est-ce qui fait que ça ne dure pas?

Pourquoi les gens laissent-ils tomber si facilement?

Sommes-nous accroc aux « papillons »?

Sommes-nous si habitué à notre société de consommation que nous en sommes venus à consommer aussi l’amour? On choisi, on achète, on consomme, et quand on rencontre un nouveau modèle, différent, on saute dessus sans tenir compte de ce que le premier nous a apporté : on jette et on « achète » le nouveau, qui a pleins de features cool et qui est tellement mieux que le vieux modèle...


Je compare souvent un couple à un feu de camp.
Je vous fais cadeau aujourd’hui de ma théorie « feu de camp ».
À chaque fois que je la sort, celle-là, j’ai droit à des sourires, et à de grandes discussions…


Un feu, au début, c’est beau, c’est chaud, c’est intense et c’est beau.
C’est fort, et on a l’impression que jamais ce beau feu ne pourrait disparaitre.

Mais dans la réalité, ça ne dure pas, cet état là.
Le bois brule, se consume, et l’intensité réduit tout doucement.
Puis, sans qu’on ne s’en rende compte, il ne reste que des petits crépitements de temps à autre. Des étincelles.

Pour que le feu reprenne, il faut l’alimenter.
Pour le garder beau, fort, il faut travailler dessus.

Ça prend du bois et de l’entraide pour arriver à garder le feu en vie.
Faut travailler fort, et sans relâche pour y arriver.
Un moment d’inattention et c’est fini.
Capoute, le feu.

Maintenir le feu est vie, c’est un travail temps plein (deux personnes), pas à temps partiel (une personne). Si on laisse tomber le temps plein, ça implique qu’on fait travailler l’autre en double : Lui laisser la tâche ardue de mettre du bois, tout seul, pour que le feu se maintienne. Prendre pour acquis qu’il fera toujours chaud, parce que l’autre s’en occupe.
Au fil du temps, l’épuisement, l’écoeurantite, la colère de ne pas recevoir d’aide, la rancœur, l’irritation, gagneront du terrain en dépit du bon vouloir.
Le feu mourra malgré tout les efforts investis par l’un ou l’autre.

Des fois, c’est une grosse pluie vient tout gâcher. Un torrent.
Sans qu’on ne s’y attende, notre feu est attaqué, harcelé, abattu à grosse goutte.
Le bois se mouille, la braise (base) en souffre énormément.
Faut travailler fort, pour repartir le feu dans le cas là.
Faut vouloir faire de l’overtime. Deeply.

Quand on réussi, le feu n’en est que plus beau, plus fort, plein de vitalité.
Prêt à tout.

Malheureusement, ça ne fonctionne pas toujours.
Des fois, il est juste trop tard.
Peu importe le bon vouloir, il est trop tard.
Le bois est trempé et inutilisable.
Ce foyer là est désormais hors service, malgré tous nos efforts.
Plus aucun feu ne réussira à prendre naissance à cet endroit.
On doit l’accepter, apprendre, comprendre, avancer plus loin et tenter de mettre plus d’effort sur le prochain feu, pour qu’il survive, celui-là. Ne pas refaire les mêmes erreurs.


Aucun feu n’est à l’abri d’un orage, d’une pluie
Aucun.


Mais, on peut essayer d’être prêt à faire face à une tempête.
On peut tout faire pour passer au travers et réussir à garder la flamme allumée, ou du moins, un peu de braise pour repartir un nouveau feu.
Faire des réserves de bois, élaborer un plan, garder des allumettes, du papier journal, ou même, en temps de guerre, du gaz à lighter.
En dernier recours.
Au grand maux les grands moyens, tsé.


Puis, si on réussi, si le feu est toujours là après la tempête, on est fiers.
On regarde ce qu’on a réussi à accomplir, ce par quoi notre feu est passé, à quoi il a survécu, et on souri. On est contents.

On se prépare pour la prochaine tempête, parce qu’on est pas du genre à laisser tomber, à laisser notre feu mourir. On est plus forts que ça. On en a vu d’autre.


Mon feu à moi a souvent été endommagé par la pluie.
Par des inondations, même.
Il a fallu souffler dessus très, très, fort pour le réanimer.
Il est même arrivé qu’on se soit demandé s’il restait une minuscule braise quelque part, sous toute la cendre. 10 ans de cendre, ça en fait tout un paquet.

Mais on a toujours fini par réussir à trouver quelque chose qui brulait toujours.
Et on est repartis de là.
Tranquillement.
Petit à petit.
De plus en plus fort.

C’est tout un travail, un feu de camp.
Mais c’est tellement beau quand ça brille de milles feux, non?


Beaucoup trop de feu s’éteignent, à mon avis.
Beaucoup ne sont plus qu’une faible lueur.

Beaucoup se contentent de partir un beau, gros, merveilleux feu, avec beaucoup de gaz, pour que ce soit gros et impressionnant, pour que ce soit WOW.
Puis, le regardent bruler, profitent de la belle chaleur et de son intensité du moment sans mettre aucun effort pour la suite.

Inévitablement, le feu meurt par manque d’attention et/ou de travail.
Par paresse.

Parce que c’est tellement plus facile de commencer un nouveau feu, un après l’autre, et de le consommer dans son intensité que de chercher du bois et travailler fort pour en garder un seul, fort et en vie…


C’est un peu triste.
Ça laisse un paysage avec pleins de petits cercles de bois brûlés, un peu partout.
Morts.


Moi je dis : Faites donc vos réserves de bois, préparez vos pierres et placez les en cercle. Faites des boules de papiers et aller chercher des brindilles, juste au cas où vous en auriez besoin en cours de route pour donner un peu de vigueur.
Soyez prêts à travailler sur votre feu si vous voulez qu’il dure.


Copyright Karine
;)

18 avr. 2011

Esprit de bottine

"Le malheur des uns fait le bonheur des autres"


Quelle expression bizarre, quand même, non?
Ça sous-entend que si t'es heureux, c'est que t'as "volé" le bonheur à quelqu'un d'autre.


Un peu méchant ça, voler le bonheur de quelqu'un...



En tout cas.


;)

15 avr. 2011

Souvenir refoulé?

Cette nuit j’ai rêvé.

J’ai rêvé que je retournais visiter le site d'un ancien emploi. Je me promenais et je faisais visiter à la personne qui était avec moi l’endroit où j’avais jadis travaillé. Un beau petit coin de paradis. Vraiment un bel endroit, d’où je garde d’excellents souvenirs.

Puis, nous nous sommes retrouvés au bar de l'endroit, où un genre de 5@7 s’y déroulait. J’étais debout et je discutais avec la personne qui était avec moi (j’ai beau essayer de me souvenir de qui c’était, mais ça ne vient pas…). Je voyais un garçon, dans mon champ de vision, qui me regardait avec insistance. À force me faire fixer, je l’ai aussi regardé pour savoir si c’était bien moi qu’il regardait : et bien oui, c’était moi qu’il fixait comme ça!


Je l’ai vu se frayer un chemin vers moi, entre les gens.


Je le connais, lui….


Plus il se rapprochait, plus je le reconnaissais.


-Karine? A-t’il dit en arrivant face à moi.

- ….. Steve?!

Un beau grand sourire illuminait son visage. Le mien aussi.

-Wow… C’est bizarre de te voir ici, mais je suis tellement content. Vraiment.


Papillons.

Il était beau, Steve.

Pas la grande beauté universelle, non.
Pas un garçon qui fait tourner les têtes.
Mais il était beau. D'une beauté toute spéciale.

Son visage, ses cheveux qui frisotte juste un peu, un peu trop long, juste assez pour voir quelques boucles et qui donnent envie de s’y prendre les doigts, ses petites lunettes, et ses yeux. Ses beaux yeux bruns si pâles qu’on dirait qu’ils sont noisettes. Mais non, ils sont bruns.

Bruns, comme ses pantalons fétiches qu’il portait toujours. Avec un t-shirt.


J’avais oublié ses yeux là.

Et ce sourire là.

Et cette fossette là quand il sourit.


Il était beau et gentil, Steve, et j’ai rêvé à lui cette nuit.


Je me suis réveillée en me demandant pourquoi j’avais rêvé à un garçon, un ami, que j’avais complètement oublié depuis longtemps...


A-t’il rêvé à moi, comme j’ai rêvé à lui?
Un genre de rêve partagé?


Est-ce qu’il m’avait refoulé dans ses souvenirs, lui aussi?


Aujourd’hui, Steve, je pense à toi et je me demande où tu es, ce que tu fais.

Mon subconscient t’as fait renaître cette nuit, pour une raison que j’ignore.

J’espère que tu vas bien, que tu es heureux.

J’espère te croiser, dans la vraie vie, pour revoir tes yeux, ton sourire, et surtout pour entendre ton rire…


Je pense à toi aujourd’hui :)

12 avr. 2011

2011

Je l'ai tu dit, que 2011, c'est de la grosse marde??


Oui? Ah.....


Ben je me répète pareil.



2011, c'est de la grosse grosse marde.



Ostie.

8 avr. 2011

Pub!

Je fais rarement ça, de la pub.
Mais là, je fais exception, parce que c'est quelqu'un que j'adore.
Quelqu'un de toujours présent pour moi, quelqu'un qui m'écoute, me rassure quand j'ai peur, qui m'aide a rationaliser, qui endure mes propos souvent inutiles (avouons-le), qui fait semblant trouver drôle mes jokes plate, et ce, à chaque jour.
(Un Saint! :P)


Il est un ami très spécial pour moi, et il a sa p'tite place réservée dans mon coeur pour toujours.


Allez lui faire un p'tit coucou, vous allez voir, yé fin.

Pas le choix, tsé, c'est mon ami. :)


Allez l'encourager un-ti-peu, c'est par ici :
Chroniques en commun



Bienvenue sur la blogosphère, mon ami :)

Les secrets

J’aime les secrets.

J’aime quand quelqu’un me fait assez confiance pour se confier. Car quand quelqu’un est assez à l’aise pour ça avec moi, ça veut dire que je suis importante pour cette personne. Et me sentir importante pour quelqu’un que j’aime, à qui je tiens, ben ya rien qui me fait plus plaisir.


J’aime la complicité que ça apporte, de connaître un secret.


Les secrets, ça rapproche.


Les secrets, c’est précieux.

Il faut en prendre soin, des secrets qui nous sont confiés.
Ils sont comme des petits poussins.
Doux. Fluffy. Fragiles. Magnifiques.


Ouais, je me confesse : J’aime les secrets!
(Sens-tu le lien qui nous uni, maintenant que je t’ai confié ceci? Incroyable quand même… :P)

4 avr. 2011

La "Madame"

Hier, lors d'une conversation avec des amis (par dessus les cris des enfants trop heureux de se voir et de s'obstiner s'amuser ensemble), on parlait musique et moments cocasses des contrats de mon chum :


....

(Chum) Faque la Madame me demande la version "hardcore" de cette chanson-là pis...

(Amie, qui lui coupe la parole) La version hardcore?

(Moi) Celle où il dit f**king ou lieu de loving...

(Chum) C'est ça. Pis là, la Madame, elle avait bu un peu trop, beaucoup, pis a trippait ben raide sur le plancher de danse, elle dansait comme une déchaînée et c'était vraiment drôle, une Madame de 40 ans danser de même sur cette musique-là!!!

(Moi) Moi je dis que tu devrais arrêter d'apeller une femme de 40 ans une "Madame"...

(Chum) Pourquoi?!

(Moi, crampée) Ben parce que... Tsé... Tu t'enlignes sur le 40 toi aussi là... La Madame, elle est pas ben ben plus vieille que toi...

(Chum, frustré) Eille, j'ai jute 32 là!!


Hahahahaha!! *cornes de démone*

1 avr. 2011

1er avril *Edit*

Aujourd'hui, c'est la seule journée de l'année où tout le monde a le droit d'être tannant, sans fâcher personne! :)


À date, on a :

- Colorié des poissons (avec des Hi-liter) et on les a collé sur les écrans de nos collègues

- Collé le bouton qui raccroche de leur téléphone (donc ils pensent répondre, mais ça marche pas et ils se demandent pourquoi)

- Badigeonné le dessous du combiné des téléphones avec de la crème à main (pis on a dit à un d'eux que c'était du KY... lol)


La journée n'est pas terminée!


D'autres idées?

Quels tours vous jouez, vous, aujourd'hui?? ;)


***EDIT
- Suite à la suggestion de Véro, on a enlevé tous les crayons dans le bureau de deux collègues pendant qu'ils étaient en appel conférence.

- On a collé un post-it (avec un dessin de poisson dessus!) sous leur souris d'ordinateur pour la rendre inopérante.

- À défaut de pouvoir faire un print screen de leur ordi pour le mettre en fond d'écran, on a changé leur background pour une photo de poisson.


On s'amuse comme des p'tites folles, c'est vendredi!!! Hihihi! :)